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Les membres du groupe

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Avec (de gauche à droite) : Nahla, Diane, Camille, Noémie, Louna, Bastian, Elsa, Tanguy, (devant) Eloïse, Charlélie.

Choisir de partir à Errekaleor ne s’est pas fait en un clin d’oeil, ni pour un attrait particulier pour le climat basque de janvier. C’est le résultat, pour chacun(e) d’entre nous, d’affinités, de curiosité, de convictions. Si nous ne sommes pas tou(te)s venu(e)s chercher la même chose dans ce sujet et dans ce voyage, de grandes idées ressortent dans les motivations énoncées par les membres de notre groupe.

 

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“L’autogestion est une problématique qui me semble primordiale à étudier, dans un contexte de redéfinition des rapports de pouvoir entre individus et instances de décision. Aussi, cette thématique permet de donner à voir une autre manière de gouverner, de s’organiser, de décider, de consommer, de produire. La mise en avant du rôle du collectif et la dissidence du projet d’Errekaleor permet de voir qu’il est possible de faire en dehors, de faire à côté, et surtout de faire autrement. J’ai choisi ce terrain car il permet de donner de l’espoir face aux problèmes sociaux, économiques, écologiques que l’on connait. Aussi, il permettait de s’intéresser à un autre système politico-administratif que celui de la France, avec d’autres enjeux globaux.”

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“Mes volontés autonomistes et de découverte de modes de vie alternatifs m’ont conduite de manière évidente à vouloir étudier l’autogestion. L’intégration du quartier dans une thématique complexe me semblaient intéressante. Le modèle vers lequel tend Errekaleor et les nouvelles formes d’organisation m’intriguent fortement.”

 

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“Ayant des affinités politiques fortes avec les occupant(e)s d’ Errekaleor, partir à leur rencontre dans le cadre universitaire était une chance, que nous avons saisi tou(te)s ensemble. Ce quartier est un formidable terrain d’expression pour la libération des corps, à reproduire et à partager ! Gora Errekaleor !”

 

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“Etudier un quartier autogéré, étudier Errekaleor fait totalement sens. J’ai choisi ce terrain car j’avais l’envie de lier l’enquête, objet d’une étude universitaire, avec un sujet très peu théorisé, celui de l’autogestion. Etudier un exemple particulier est un bon moyen pour avoir une vraie expérience dans le domaine. Se rendre à Errekaleor, c’était aussi pour moi l’opportunité de m’insérer dans un groupe assez fermé, sélectif. Ce voyage, c’était l’occasion de vivre une expérience totalement nouvelle !”

 

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“Déjà intéressée par l'autogestion et les valeurs défendues avant de partir, la mise en pratique de cet idéal de vie m'a séduite. Il me semblait très original et pertinent de rencontrer des personnes qui vivent par et pour la communauté, avec des modes de gestion et de production alternatifs.”

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